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Le carnet d'Intima

Célébrité

Dans l'intimité de… Rocco Siffredi

04 mars 2020

Star internationale du cinéma pour adultes, producteur et réalisateur, personnalité de la télévision, égérie de campagnes publicitaires, institutionnelles et caritatives...

...Rocco Siffredi est une célébrité incontestée, même en dehors du circuit XXX.Une passion et ironie, une sympathie naturelle et un « je-ne-sais-quoi » inné qui, au fil des années, lui ont valu un public de fans tous azimuts. À 55 ans, il prête pour la première fois son image à un sous-vêtement… et attention, pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit d’un dessous high-tech : le boxer VMan, en fibre Emana. Une interview s’imposait ! Avec lui, nous avons parlé de séduction et d'esthétique, de femmes et de style, de sous-vêtements, de maillots de bain et bien plus encore... Rocco Siffredi se dévoile.

Qu'est-ce que la séduction pour Rocco Siffredi ? 
Pour moi, c'est une énergie vitale. La séduction est une attitude qui ne doit pas être rattachée à une seule approche ou occasion : pour moi, la séduction est un mode de vie. Et si l’on parle de séduction, il ne faut jamais être pris au dépourvu ! Aussi et surtout dans l'intimité. Je parle par expérience : vous pouvez bien être Rocco Siffredi, mais si, lors du point culminant, vous portez ... par exemple ... un pantalon blanc ... l'embarras est assuré ! 

Selon vous, comment la perception de l'érotisme a-t-elle évolué au fil des ans ?
Au cours de ces dernières années, elle a radicalement changé. Avec l'arrivée des réseaux sociaux, la boussole de l’éros a perdu le nord : l'érotisme (ou plutôt la représentation ambiguë et déformée que les réseaux sociaux donnent de l'érotisme) est entré dans les foyers et le quotidien de tout le monde. Les réseaux sociaux ont fait de chacun une star du porno, bouleversant le concept de base sur lequel repose l'industrie du porno et qui a inspiré un imaginaire érotique précis. Sur le plateau, avec une performance par définition « extrême », les réalisateurs et acteurs professionnels proposent au spectateur un produit qui doit le faire rêver, mais sans nécessairement déclencher des mécanismes d'émulation. Entre la réalité quotidienne de l'éros et la performance extrême, le porno évolue dans la dimension de l’imagination : une dimension qui est totalement absente sur les réseaux sociaux. La barre a été placée plus haut : sur la toile, ce qui était autrefois considéré comme « hard » est devenu « soft » et ce qui est transmis comme quelque chose d’« érotique », déconnecté de la réalité et dépourvu de toute imagination, n'est qu’irréel.

Et comment cette perception change-t-elle d'un pays à l'autre ? 
D'après mon expérience, plus les tabous sont enracinés dans la mentalité et le tissu social d'un pays, plus le sentiment de transgression est accentué. En Europe du Nord, où l'approche a toujours été plus libérale, ils sont restés accrochés à un stéréotype un peu rétro : aujourd'hui l'attention portée à l'éros est fade, avec une vision des femmes, à mon avis, plus « féministe » que « féminine », où l’on a perdu le véritable sens de la sensualité. Dans les pays méditerranéens, la dimension sexy est abordée de façon plus naturelle. Aujourd'hui, les femmes ont un pouvoir de décision sur leur sexualité : dans ces pays, où l’héritage religieux et culturel est plus fort, les femmes assument pleinement cette faculté, parce qu’elles en ont été privées par le passé. Dans les pays de l'Est, que je connais très bien (Rocco vit et travaille depuis plusieurs années à Budapest, ndlr), il existe une véritable « esthétique de la dimension sexy » : l'érotisme fait partie intégrante de l'apparence et du look d'une femme.

Quel est le summum du mauvais goût pour vous ? 
L’extrémisme contre la liberté. J'ai fait du porno un choix de vie aussi et surtout pour ne pas avoir à m'adapter aux règles et conventions imposées. Cependant, ce qui me dégoûte le plus, c'est la dégradation morale de notre société, qui perd jour après jour l’empathie envers les gens et devient moins sensible à la souffrance du monde. Aujourd'hui, regarder la mort à la télévision est devenu normal : c'est pour moi la plus grande forme de vulgarité.  
 
Et côté esthétique, ce qui vous dérange le plus c'est... 
Les personnes qui s’habillent à la mode sans avoir le physique qui va avec. Avoir bon goût, c'est d'abord être objectif envers soi-même. 
 
Trois mots pour définir le séducteur moderne ...  
Passion, humilité et ironie. Pour moi, c'est un mantra de la vie. Et j’ajouterai que, dans le jeu de la séduction, l’expérience, la maîtrise de soi, la capacité de comprendre les gens et l'intelligence des situations font toute la différence. Ne jamais agir de façon stéréotypée. Mieux vaut se tromper en étant original, que de faire « presque bien » en copiant quelqu'un. 
 
Qu'est-ce qui vous attire le plus chez une femme ? 
La féminité. Et je ne parle pas de l'extérieur, mais de celle intérieure, qui passe par les yeux. Je ne suis pas particulièrement fétichiste : bien sûr, une belle poitrine, de longues jambes, les bonnes courbes sont excitantes... Mais c'est le jeu des yeux qui me fait perdre la tête. À travers les yeux, je peux me connecter avec la personne, comprendre son unicité en tant que femme... C'est une forme d'attraction qui est fortement liée à la personnalité.  
 
Votre idéal de beauté féminine ? 
Je suis très attiré par les rousses. J'aime la peau blanche, diaphane, je la trouve très érotique, car elle dévoile chaque détail : les veines, les petites imperfections, la ligne sensuelle des mamelons...  
 
Avez-vous une drôle d’anecdote en lien avec les sous-vêtements ? 
Une publicité que j'ai faite (ou plutôt, que j'ai failli faire !) à mes débuts dans le cinéma porno. On m'avait conseillé de continuer à faire le mannequin, au cas où je n’arriverais pas à percer dans l’industrie du X (rires, ndlr). C’était une séance photo de sous-vêtements pour hommes et femmes : j'étais jeune, exubérant, la mannequin très sexy ... Vous imaginez bien comment ça s'est passé : au final, la séance ne s’est pas faite ... Aucun cliché ne pouvait être utilisé ! 
 
Quel a été le premier sous-vêtement « culte » de Rocco Siffredi ?  
J'ai acheté mon premier sous-vêtement de marque à l'âge de 20 ans : il s'agissait de la marque Nikos, conçue par un designer grec qui s'était inspiré de la mythologie antique pour recréer sur le corps masculin l'idéal de la silhouette parfaite. Une sorte de tanga pour hommes avec une échancrure très haute. À l’époque, j'avais un corps à couper le souffle et je plaisais beaucoup ... J'adorais m’exhiber et mettre mon corps en valeur. 
 
Dans la plupart des cas, les sous-vêtements masculins sont achetés par des femmes : est-ce aussi votre cas ? 
Non, mes dessous, je me les achète toujours moi-même. Je suis très exigeant en matière de sous-vêtements et je les choisis avec attention : ils doivent m’aller comme un gant et être agréables sur la peau. J’ai horreur de porter quelque chose qui ne me soutient pas : les sous-vêtements masculins doivent soutenir et embrasser les formes de la bonne manière.  
 
Où faites-vous vos achats ? 
Je suis assez conservateur, si une marque ou un magasin me satisfait je lui reste fidèle pendant des années. Et je peux aussi acheter dix vêtements à la fois. Pour les sous-vêtements, il m’arrive de dépenser plus de 200 euros. J'ai trouvé un magasin qui vend exactement les sous-vêtements qui me conviennent, Rue de Faubourg à Paris. C’est maintenant le seul endroit où je les achète. 
 
Vous arrive-t-il d’acheter en ligne ? 
En général, non, je ne suis pas un e-shopper. Pour les vêtements, je n'achète jamais en ligne si je ne connais pas la marque. Et en ligne, je n'achèterais jamais de sous-vêtements, à moins de les avoir déjà essayés.  
 
Le dernier article de lingerie que vous avez offert à une femme ? 
Je ne m’en souviens pas. Ma femme se les achète elle-même, car elle dit que je n'ai aucun goût ! 
 
À quoi ressemble votre tiroir à sous-vêtements : fonctionnel, sexy ou « fun » ? 
Fonctionnel et sexy. Pas de contradictions : le vêtement fonctionnel est sexy, quand c’est celui qui vous convient. Je fais encore aujourd’hui très attention à mon corps : un sous-vêtement soigné dans le design et dans sa coupe aide à masquer les petites imperfections, comme les « poignées d'amour », qui n’épargnent personne avec l’âge ! J’ai besoin de me sentir au mieux, à l'aise, habillé et nu. Être toujours prêt pour toutes les situations. 
 
Slip, trunk ou boxer ? 
Le modèle trunk. Pour VMan, le boxer dont je suis l’égérie et dont j'ai personnellement contribué au développement, nous avons opté, pour des raisons commerciales, sur un modèle un peu plus long, afin de satisfaire une cible plus large. Mais personnellement, je préfère des coupes moins longues sur moi. 
 
Et pour dormir ? 
Je ne dors pas tout nu. Mais le pyjama, c’est hors de question ! 
 
Coton ou fibres techniques ? 
Coton. Avec le projet VMan, qui utilise la fibre Emana, j'ai pu apprécier les avantages d'une fibre technique performante : je suis aussi pour une fibre non naturelle, si elle apporte une réelle sensation de bien-être à celui qui la porte.  
 
 

Débardeur, oui ou non ? 
Plus maintenant. Quand j'étais plus jeune, avec un corps sculpté, oui. 
 
Chaussettes longues ou courtes ? 
Absolument longues ! Les chaussettes courtes sont gênantes. 
 
Votre tenue préférée pour une journée de détente ?  
Le survêtement : je veux toujours être prêt pour pratiquer une activité physique. 
 
Et sur la plage ? 
Boxer en toile avec un t-shirt ou une chemise. 
 

Quelle est la caractéristique du boxer VMan que vous préférez ? 
La fonctionnalité associée au design. Lors du développement du produit, j'ai donné des indications précises pour que le boxer ait un bel aspect, mais qu'il contribue à la fois à minimiser les défauts et à mettre en valeur les formes. 
 
Pour quelles raisons avez-vous choisi d’être l’égérie ce produit ? 
Stefano Malfetta, directeur de Mobiweb (la société basée à Rome qui a conçu et distribue le boxer VMan, ndlr), est un ami de longue date. Je n'avais jamais été l’égérie de sous-vêtements auparavant, et j'ai été séduit par l'idée de tenter l’aventure pour la première fois à 55 ans. De plus, le projet tournait autour de la fibre technique, et j'étais curieux de la tester. Et puis, en termes d'image, mon personnage allait bien avec le reste : ce n'est pas le classique boxer, c'est un sous-vêtement qui ose, qui se pousse vers les nouvelles technologies, et qui en même temps apporte quelque chose d’amusant. Je trouve que c'est une idée cadeau parfaite pour jouer sur l'ironie et la séduction. Vous trouverez de nombreux acheteurs parmi les femmes ! 
 
Nous aussi nous voulons oser... Pouvons-nous vous demander quels sous-vêtements portez-vous aujourd'hui ? 
Des sous-vêtements en coton de haute qualité. Vous attendiez-vous à ce que je vous réponde VMan ? Cela aurait été trop évident (rires, ndlr) ! 



Rocco Siffredi per il boxer high-tech VManL’acteur italien est l’égérie internationale d’une nouvelle ligne de dessous réalisés avec la fibre Emana. Conçu et distribué en Italie par la société Mobiweb srls de Roma et réalisé par la fabricant Calzificio Eire basé à Mantoue, le boxer VMan offre une sensation de confort, de légèreté et de bien-être à celui qui le porte. Le mérite revient à Emana, la fibre intelligente avec des cristaux minéraux bioactifs intégrés, qui absorbe la chaleur corporelle pour la restituer en IRL (Rayons à infrarouges lointains). Grâce aux micro sections de tissus avec fibre Emana insérées au sein de la coquille antérieure ainsi qu’à la coupe du modèle, le boxer exerce une action de micro massages en offrant un effet push-up et thermorégulateur. L’absence de couture garantit un bien-aller seconde peau et un séchage rapide. La fibre est en outre enrichie d’essence de ginseng, qui accroît les effets bénéfiques et énergisants. Disponible en ligne, ce produit associe l’attention à la santé à la préservation de l’environnement : certifié Oeko-Tex Standard 100, il utilise des teintures conformes aux standards suggérés par la procédure Detox de Greenpeace et il est proposé dans un packaging en carton recyclé. Chaque pack contient 2 boxers : un noir et un gris anthracite, disponible en trois tailles.

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